En mission humanitaire, c’est lui le chef ! À la tête d’une équipe réunissant parfois plusieurs dizaines de volontaires et de bénévoles, il organise les opérations comme un chef d’entreprise. Après avoir analysé la situation du pays d’intervention (contexte politique, humanitaire, social, économique), il propose à son association un plan d’action, celle-ci le valide.
Ensuite, le chef de mission coordonne le travail des différents intervenants, participe à la formation du personnel et rencontre régulièrement les autorités locales. Car sur place, il est le représentant officiel de l’ONG qui l’emploie.
* Selon statut, salarié ou volontaire
Initialement, il est médecin, ingénieur, logisticien… Quelques écoles organisent des formations à la coordination de mission (Bioforce, IFAID, etc.).
Il existe également un master pro Opérateur en coopération internationale et solidarité internationales et développement, à Montpellier, Économie sociale et solidaire, à Aix-Marseille Université, ou Acteurs et institutions des migrations, de l’accueil et de la solidarité internationale, à Poitiers.
Quelques années d’expérience et une pratique courante de l’anglais sont souvent requises pour exercer ce métier.
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