Sur le terrain, aux côtés des volontaires, c’est lui qui gère le portefeuille de l’équipe humanitaire. Lorsqu’une organisation affecte des fonds à une mission, l’administrateur prépare les budgets et répartit l’argent selon les besoins. Il détermine comment et à quel rythme le pécule sera dépensé.
Ce comptable de l’urgence s’occupe également des contrats de travail des personnels et supervise l’organisation logistique de la mission, notamment la gestion du matériel et des hébergements. Le plus souvent, il est aidé dans sa tâche par des assistants locaux qu’il a formés.
* Pour les bacheliers à partir de 2020, il faudra choisir ses spécialités en lien avec les études menant au métier ciblé.
Écoles de commerce et de gestion généralistes ou spécialisées, comme Bioforce, à Vénissieux, l’ESCD 3A, à Lyon, ou l’IFAID, à Bordeaux, ou encore un master pro Comptabilité-contrôle-audit (52 établissements) ou Management et administration des entreprises (44 établissements). Un parcours en management de la solidarité à l’IRCOM Angers peut aussi mener à la profession. Un minimum de deux années d’expérience est souvent requis pour exercer ce métier.
** Selon statut, salarié ou volontaire
© L'Etudiant : tous droits réservés
1 carte de paiement internationale, 0 frais à l'étranger sur les paiements / retraits / virements, 1 appli et 1 agence...
Le tout pour 2€/mois !
Voir détails et conditions sur site.