Aucune erreur d’orthographe ou de grammaire ne lui résiste. Le correcteur passe au peigne fin des centaines et des centaines de pages, à la recherche de la moindre erreur d’écriture, de style, de syntaxe, de ponctuation, d’accord…
Il rectifie aussi les contresens, les maladresses. Garde-fou des auteurs, ce professionnel, qui travaille souvent en indépendant, chez lui, doit rendre un texte clair, facile à lire. Pour cela, pas de secrets : il maîtrise parfaitement la langue française. Parfois mieux que les auteurs eux-mêmes ! Il doit être pointilleux et avoir une grande capacité de concentration.
Plusieurs écoles de journalisme initient à la correction. Une licence universitaire en lettres peut être un atout.
Il existe quelques cursus dédiés, à l’image de la licence pro Édition : techniques rédactionnelles et développements numériques, à l’Université Jean-Jaurès de Toulouse (31), ainsi que des écoles délivrant des certificats professionnels, telle celle, très réputée, du Greta CDMA (ex-Formacom). Elle dure six mois et exige juste d’avoir le bac.
L’EMI, l’École des Métiers de l’Information, dédie un cursus également à ce métier (dont les modalités d’admission portent sur des tests de français-culture générale et un entretien).
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