Derrière ce titre obscur se cache un métier dont le maître mot est la polyvalence. Le Technicien Supérieur de l’Aviation (TSA) peut occuper différents postes dans les domaines de la navigation ou de l’exploitation aérienne. Contrôle aérien pour des petits aérodromes, assistance d’ingénieur, maintenance des équipements électrotechniques de l’aéroport, traitement des informations météorologiques transmises aux pilotes…
Le TSA fonctionnaire peut exercer son métier sur le terrain comme dans les services administratifs de la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC). Quelques postes sont également disponibles à Météo France.
Le TSA civil travaille dans les compagnies aériennes, des sociétés gestionnaires d’aéroports ou encore des sociétés d’assistance en escale.
Grâce à des concours internes, l’évolution vers des postes d’ingénieur et de contrôleur aérien est envisageable.
Le TSA est recruté sur concours après un baccalauréat scientifique. La formation se déroule à l’ENAC (École Nationale de l’Aviation Civile), à Toulouse. Elle dure trois ans pour les civils comme pour les fonctionnaires, qui sont rémunérés. En 2020, 45 places étaient proposées aux fonctionnaires et 10 aux civils. Le choix entre civil et fonctionnaire se fait au moment de l'inscription au concours.
l'Etudiant © Tous droits réservés
1 carte de paiement internationale, 0 frais à l'étranger sur les paiements / retraits / virements, 1 appli et 1 agence...
Le tout pour 2€/mois !
Voir détails et conditions sur site.