Électronique, mécanique, aérodynamisme, optique, système embarqué… Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’ingénieur aéronautique a l’embarras du choix ! Derrière ce terme générique coexistent en réalité de multiples profils d’ingénieurs : ingénieur d’études, ingénieur calcul, ingénieur production, ingénieur d’essais…
Qu’il travaille pour un constructeur, un équipementier ou une société de services, l’ingénieur aéronautique est toujours spécialisé dans un domaine technique. Il peut aussi occuper des fonctions commerciales, on parle alors d’ingénieur d’affaires ou d’acheteur.
Dans un bureau d’études ou en usine, l’ingénieur aéronautique évolue au sein d’équipes multiculturelles et pluridisciplinaires. La pratique de l’anglais et un bon sens du relationnel sont donc indispensables !
* Pour les bacheliers à partir de 2020, il faudra choisir ses spécialités en lien avec les études menant au métier ciblé.
De préférence une école d’ingénieurs spécialisée en aéronautique (ENAC, ISAE-Supaéro, ESTACA ou IPSA).
Le métier est aussi accessible aux ingénieurs issus d’écoles généralistes ou spécialisées en électricité, informatique, télécoms, web, etc., ayant effectué des stages dans des entreprises aéronautiques. Certaines écoles d’ingénieurs généralistes proposent des options en aéronautique (Centrale Supélec et Centrale Lyon, l’EPF...).
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