Spécialisé dans le traitement des maladies de peau, ce médecin exerce plus souvent en libéral qu’à l’hôpital. En cabinet, il traite en général des pathologies bénignes (acné, eczéma, verrues, grains de beauté, allergie au soleil, etc.) et réalise des gestes chirurgicaux simples. Il peut également effectuer des actes esthétiques, comme le peeling, non remboursés par la Sécurité sociale.
Certains problèmes de peau ont une origine psychique : plus que d’autres spécialistes, le dermatologue doit être à l’écoute de ses patients et faire preuve de beaucoup de psychologie.
À l’hôpital, il est plus souvent confronté à des pathologies lourdes : cancers de la peau, grands brûlés… Son travail est alors beaucoup plus technique.
* Pour les bacheliers à partir de 2020, il faudra choisir ses spécialités en lien avec les études menant au métier ciblé.
À partir de la rentrée 2020, exit la PACES, le concours et le numerus clausus. Avec la réforme des études de santé il faudra désormais s’inscrire sur Parcoursup et opter pour une Licence option Accès Santé (L.AS) ou un Parcours Accès Spécifique Santé (PASS).
Les cinq années qui suivent donnent les bases du médical et approfondissent les pathologies. Le choix de la spécialité intervient en fin de sixième année. Suivent alors quatre à six années d’internat. L’étudiant obtient alors le DE de docteur en médecine, assorti du DES (Diplôme d’Études Spécialisées) de la discipline suivie (ici, la dermatologie et vénéréologie).
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